Contes et légendes

*Antioche se pencha en avantt, le dos vouté, surement du a son age avancé, même si il refusé de se l'avoué*
"Bonjour les enfants !! Aujourd'hui, je vais vous compter une légende ancestrale, celle de l'elfe Darkwag...
Il y a bien longtemps, bien avant que je sois nait, du temps du grand-pere de mon pere, un elfe -l'un de ceux que nous appelons aujourd'hui un elfe pur mais qui se nommait a l'époque les hauts elfes, ennemi des elfes noirs et des elfes gris- nommé Gilano tomba amoureux d'une jeune elfe noir, Elissandre.
Tout d'eux se sentir attirer l'un pour l'autre. Mais leur clan, leur race ne leur permis pas cet amour, et ils durent s'exiler dans les montagnes de Krir, esperant se couper du monde et ne plus avoir d'ennui, et surtout, tenir a l'écard de la guerre l'enfant qu'attendé Elissandre.
Elissandre acoucha d'un "garçon" qu'ils appelèrent Loufang, "L'elfe roi" en elfique.
Ils l'eleverent dans ces montagnes reculé coupé de l'exterieur.
Loufang vecu heureux, ne connaissant meme pas l'existence du monde exterieur, mais vivant en harmonie complete avec la nature..."

A l'age de 20 ans (ce qui est jeune che les elfes), il savait comuniquer avec son envirronement et parler avec les animaux.
A 25 il apprit les arts de la chasse, tel que l'arc ou le coutelas.
Mais dans l'anné de ses 31 ans, commençant tout juste a devenir autonome, des elfes debarquerent chez lui. Ils portaient de noires armures et de fines lames a la garde. Loufang, qui n'avait jamais vu ni armure, ni épée ni elfes autres que son pere et sa mere, courut avertir ses parents des inconnus.
Inquiet, Gilano sesit une épée qu'il caché dan le fond d'une armoire et sortit, tenant par la main son epouse, se tenant entre les inconnus et son fils.
Lorsqu'il sortit a l'air libre, il remaqrua immediatement l'insigne des guerriers: une lame blanche plantée dans un coeur: des guerriers Ashurus, des traqueurs qu'on mettés sur les traces des ennemis qu'on voulait absolument voir disparaitre...
Gilano se retourna pour crier a sa femme d'emener l'enfant le plus loin possible, mais une fleche se ficha dans sa gorge et son cria se noya dans des gargouillis...
Elissandre ouvrit de grand yeux éffrayées, mais repris immediatement le controle de son corps, ramassant l'arme de son mari, elle se tourna vers son fils: -Cours !!!
Puis elle se retourna vers ses agresseurs qui vancait vers elle, implacables.
Le combat fut rapide: malgré ses talents d'escrimeuse, Elissandre n'avait plus touchée une épée depuis de nombreuses années, et seule face à 5 redoutables guerriers, elle n'avait aucune chance.

Elle decapita un premier adversaire, plenta son arme dans les cotes d'un deuxieme, mais l'elfe tomba l'épée encore dans le ventre, fesant lacher prise Elissandre qui se trouva desarmée. Celui qui semblait etre le chef, un elfe portant un casque noir bordé de rouge la ou ses compagnon n'avait qu'un casque violet. Il s'avanca en trotinant et balança son amre d'un revers, eventrant la pauvre femme.
"Et de deux."
Il se retourna vers le jeune homme, qui n'avait pas bougé, terrorisé.
Il rigola d'un rire sadique et chargea soudainement le garçon.
Loufang sembla sortir soudainement de sa torpeur, fixant l'elfe qui le chargé, comme regardant ailleurs: son esprit n'était plus la, il avait été remplacé par quelque chose d'autre, quelque chose d'inconu et de bien plus dangereu: la furie du possédé...
Au moment où le capitaine abati son arme de mort, l'enfant esquiva, et lanca sa main vers la gorge du guerrier emporté par son elant.
Il y eu une vive douleur, puis plus rien: le guerrier était mort.
Les deux assassins restant regardés bouche bée la scène: de petite aile de sang avait poussée sur le dos du garçon.
Arkelin n'y comprenais rien: en 45 ans de carriere,il n'avait subit aucun probleme au cours de ses missions, tuant tout ceux qui devés l'etre. Il y a 12 ans, lorsqu'on l'avait lancé a la recherche du couple, on l'avait averti que la mere était une terrible guerriere -elle avait meme réussi a abattre deux des 5 guerriers, un exploit- et que l'homme était un haut elfe au pouvoirs inconnus. Mais personnes ne leur avait parlé d'un jeune homme homme possédant les pouvoirs d'un possédé, sinon jamais il n'aurait envoyé que 5 assassins !
La situation était instable, il le savait. Les chances de s'en sortir si lui et son compagnon se battait était mince, mais pas nulle. Mais il fallait prevenir la guilde des pouvoirs du garçon,il fallait donc absolument qu'il rentre sain et sauve.

bien, tres sympas!
et la suite...
(pour une fois qu'un mec si donne lol)

merci ^^attends sa arrive faut que le conteur reprenne son souffle il se fais vieu le bougre ^^

Arkelin hela le deuxieme survivant:
-Tu t'en occupe je rentre a la guilde pour le rapport !
-Mais pourquoi moi ? Ce gamin est sous l'emprise de la furie du possédé je ne suis pas aveugle !
- Je suis plus gradé que toi, il faut au moins un survivant tue le et tu vivra !
Arkelin s'enfuit en courant vers un bosquet, laissant le dernier guerrier seul.
Celui ci savait que s'il desobéissait, il mourrait. Sa seul alternative été donc de vaincre l'enfant. Deséspéré, il se tourna vers le jeune homme, qui avancé deja vers lui, le regard de braise.
Il entendit un hennissement et un cavalier partit au galop deriere lui: Arkelin était parti, il était desormais seul avec ce...
Il se retourna pour s'aperçevoir que l'enfant avait disparu !
Soudain une douleur lui dechira les entraille: une main sortée de son ventre...
Comprenant qu'il c'était fais avoir, l'homme sombra dans le néant.
Loufang retira sa main de la plaie, ramassa l'épée que tenait encore les mains crispées du cadavre et s'en fut dans la foret.
Arrivé à une riviere,il se lava les main.
Ses ailes avaient disparues, et il revint a lui, comprenant toute l'horreur de son geste, et de la situation dans laquelle il se trouvé...
Sanglotant, il se mit a chanter, dans le langage des animaux, deversant sa douleur et son desespoir. Se sentant mieu, il se releva. Mais une petite voix l'arreta: c'était une voix faible et discontinu, celle d'un animal qui appelé a l'aide.
Il avança, quidé par le son, jusqu'a un petit sentier ou gisé un renard, la jambe écorché par le piege d'un chasseur: un humain ! Seul les humains piégé ainsi les animaux, les laissant agonisés des heures durant. Son pere lui en avait parlé un jour.
Il ouvrit sans dificulté le piege, degageant la pauvre bete.
-Ta pate est cassé renard.
-Je sais,lui répondis-t'il, aide moi s'il te plait.
-Je ne peu pas renard, je ne peu pas.
-Tu le peu, Loufang. Je vis dans ces bois depuis 4 ans et plusieurs fois je t'ai observé. Tu possede un grand pouvoir.
A ces mots, Loufang sentit les larmes remontées.
-Ne pleure pas. Tu possede la furie du possédée, il est vrai, je l'ai sentie. Mais tu possede aussi quelque chose d'autre, de tout aussi puissant. Essaye de me soigner, je t'en prie.

Loufang ésita, puis réfléchi.
-Si tu veus bien m'aider, fais ce que je te demande et tu verras, tu y arriveras ! dit le renard, voyant que l'enfant fouillé dans une sacoche, cherchant une herbe medicinale.
-Mais... Bon si tu le dis... Mais ne place pas trop d'espoir en moi, reanrd, je ne suis qu'un miserable assassin...
- Tu n'y pouvais rien Loufang ! Ses mots pénétrairent le garçon, lui réchauffant le coeur et lui fesant oublié momentanement ses pensées.
-Bien maintenant ferme les yeux, et place tes mains l'une sur l'autre au dessus de ma jambe. Voila, comme sa. Inspire bien et detend toi. Apres un court silence l'animal reprit. Concentre toute ta volonté de guerir, toute ton amour, comme si tu voulais me montrer jusq'a quel point elle est grande.
Les yeux crispé, l'enfant s'éxecuta.
-Detend toi.
C'est alors que des ailes pousserent dans le dos de Loufang, des ailes d'une blancheur éclatante, qui semblait faite de plumes duveuteuse.
Une petite haureole bleue apparue sous les mains de l'enfant, soignant la petite plaie du renard.
L'operation finie, l'enfant ouvrit les yeux, decouvrant qu'il avait réussi.
-J'ai réussi, criat-il, je peu soigner les animaux !
-Pas seulement les animaux Loufang.
Le regard du jeune homme redevint sombre.
-Il faut que tu fuis et que tu t'entraine, pour que tu sache te defendre ! Va dans le sud et entraine toi !
Les ailes rapetisserent jusqua disparaitre, ne revelant aucune cicatrice sur le dos de l'enfant.
L'enfant se leva, determiné.
-Pars loufang, pars. Et vie !
-Merci renard, mais qui est tu ? Comment sais tu tant de chose ?
-Je suis juste un renard malin petit. Maintenant va !
Et Loufang s'en fut. Lorsque qu'il fut parti, un renard, qui l'épillé, se transforma alors pour devenir un homme fin et fort, les cheveux gris mais l'oeil vif, digne des elfes.

Loufang erra pendant plusieurs jours, avant de tomber sur un petit hameau isolé, abrité dans une large crevasse. Il s'y renda, exténué. Les villageois, des hommes, virent t'arriver l'enfant et se porterent a son secour. Mais a la vu de son visage, ils comprirent la nature du jeune homme qui leur fesé face. Le garçon s'écroula de fatigue. Un debat éclata, certains ne voulant d'un elfe au village, d'autres voulant lui porter secour et l'aider a se retablir. Finalement, Laoming, un vieillard, decida de prendre l'enfant sous sa responsabilité et de l'aider a reprendre des forces dans sa maison. Sa demeure étant a l'écard des autres habitations, personnes ne broncha et l'incident fu clos.

Loufang se reposa durant plusieurs jours. Vint le jour où son sommeil pris fin.
Loufang, ouvrant les yeux, s'aperçu qu'il était dans un lit, dans une petite piece étroite. Il se leva. Passant dans ce qui semblait être la piece principale, et qui n'était qu'une petite piece dans la pénombre remplit de choses inutiles et désordonnées. Loufang aperçu alors le vieil homme assis dans l'unique fauteuil rapiéssé que comptait le salon.
"Bonjour...
-Ah! Enfin réveillé, toi ! Je me demandais si tu n'hiberné pas ! Voyant Loufang rougir, Laoming partit d'un bon rire. Allons, allons, mange un peu.
-Merci mais je n'ai pas faim. Ou sommes nous ?
-Ca fais des jours que tu dors et tu n'as pas faim ? Enfin... nous sommes dans un petit village. Ici tu es chez moi, chez le vieux Laoming...
-Merci de m'avoir aidé, homme, mais je dois m'en aller.
-Et bien, drôle de façon de me remercier de mon hospitaliter jeune homme, dis Laoming en souriant. Prend donc des forces avant de partir ! Tu viens juste de te reveiller !
-Non, je ne peu pas...
Voyant la réticence du garçon, le vieillard plissa les yeux, se concentra et parla quelque mots inintélligibles. Il rouvris brusquement les yeux, fixant toujours Loufang.
Brusquement, il repris:
"Allons, reste, sinon tu n'ira pas loin dans ses montagnes, elfe ou pas. De plus, un détachement de soldats elfes noirs du roi Bash c'est installé dans ses montagnes, le coin n'est plus sûr la nuit. Ils ont un mage avec eux.
Une brume avait envahit les pensées de Loufang, semant le doute et brisant sa volonté.
-Vous avez... peut être raison... je devrais rester ici quelques jours... ci cela ne vous embete pas ?
-Bien sûr que non, un peu de compagnie ne me fera pas de mal !
Le lendemain matin, Loufang se leva tot afin d'aller prendre l'air, de sortir de cette petite maison irrespirable. Une fois dehors, il se dirigea naturelement vers la forêt, afin d'oublier ses pensées et se détendre.